Le nombre de transitions de genre a été multiplié par dix entre 2010 et 2020. Elles permettent à toutes les personnes assignées à un genre dans lequel elles ne se reconnaissent pas d’en changer. Dans un rapport en 2022, l’Académie Nationale de médecine appelle toutefois les mineurs qui souhaitent faire leur transition à patienter, à prendre en compte certains effets irréversibles des traitements. Un collectif de parents inquiets abonde : que se passera-t-il si mon enfant regrette finalement son choix ? Ce cas de figure est extrêmement rare mais Bérangère Lepetit, journaliste au service Société du Parisien, a rencontré un jeune «dé-transtionneur ». Elle nous raconte son enquête dans Code source. Écouter